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salut à tous!
Une fois n 'est pas coutume, j'ai fait une infidélité (2, en fait!) à mon ami Ahmed, dont voici les reports :
Nous sommes sortis, un ami (Olivier) et moi sur un spot à seiche que nous avons validé. Je dis « validé », parce que je sentais qu’il y avait un vrai potentiel, mais je n’avais pas lors de ma sortie précédente, réussi à trouver les seiches tant convoitées.
Cette fois-ci, nous y sommes parvenus.
Le 07/05/2012 :
Arrivée sur les lieux vers 19 h 30, avec chacun trente minute de retard sur l’horaire prévu. L’eau est, comment dire… dégueu. Trouble, et des sachets plastiques tourbillonnent avec le courant de baissant. Et le vent souffle en rafales gênantes, même si elles ne sont pas trop fortes.
Olivier pêche sur la gauche, et moi la droite du spot. J’ai mis une turlutte Egy-o Q orange vif, et lui, une bleue foncée. Très vite, il décroche une première seiche, et en ramène une deuxième petite, qu’il remet à l’eau.
Moi, rien. Je change de couleur sur ses conseils, et mets une turlutte plus sombre. Ah, une touche. Décrochée… Je desserre le frein, pour pouvoir ferrer. Une autre touche, la rage, décrochée encore ! Je relance au même endroit où j’ai pris la touche, et cette fois ci, je la ramène au bord. Arrivée aux roches, je la lève, mais le tentacule se déchire RAHHHH !!!
Bon, elle est sortie de l’eau, Olivier la compte avec générosité. Pendant ce temps là, lui ne touche rien, ou ne le mentionne pas. Une seiche partout… Et hop, une belle petite touche pour moi ! Ferrage canne haute, le frein chante ! Super ! Mais en fait, elle est plutôt petite, mais très énervée ! Je la soulève, et la pose dans mon sac : deux seiches à une.
Olivier s’est entre temps décalé sur ma droite, et je le vois peu après aux prises avec un monstre (sa canne est plus puissante que la mienne, et plie vraiment ! Seulement, c’est un poulpe de belle taille qu’il amène au bord. Olivier me dira qu’il a essayé de le saisir à la main, mais que le poulpe, très énervé, l’a accroché ave ses tentacules, et l’a mordu de quatre vicieux coups de bec ! Deux jeunes qui passaient par là l’on sorti des rochers, et Olivier leur a généreusement offert son poulpe, en reconnaissant qu’il n’aurait jamais pu le récupérer tout seul.
On continue la soirée, l’eau a vraiment beaucoup baissé, et il fait maintenant nuit. On se décale encore à droite, pour profiter des endroits où il reste de l’eau. Olivier me laisse essayer sa canne, une vraie petite merveille de Zenaq. Je lance, relance, mais je n’y crois plus vraiment. Soudain, une nouvelle touche, mais lourde, un autre sac ? (Je vous ai passé le nettoyage de la mer qu’on a fait : la turlutte parfois accrochant un sac dès sa chute, et autre joyeusetés ramassées ainsi.) Mais non, je ramène moi aussi un poulpe de belle taille, même s’il est un peu plus petit que celui d’Olivier. Chat échaudé craint l’eau froide, Olivier se méfie. Je ne fais pas non plus le fier : s’il est bien piqué, je sais bien qu’il doit être mécontent. Je n’ai pas encore la technique des Ryass locaux pour le décalotter, alors quelques coups entre les deux yeux avec une grosse pierre, et hop, dans le sac.
On va continuer un peu pour la forme, mais le cœur n’y est plus, les sachets en plastique sont toujours là, et on est un peu fatigué.A la maison, la tête pleine de rêves de seiches et de turluttes tourbillonnantes. On s’est donné RV pour le lendemain même heure.
Le résultat du jour, pour moi :
Le 08/05/2012 : Motivé par la session squid de la veille, j’arrive juste après mon travail, vers 18 h 30 sur le spot. J’avais prévu d’arriver un peu plus tôt, mais pas possible. La mer est encore très haute, mais aujourd’hui, on va pêcher dans un aquarium : pas de vagues, pas de vent, et la mer est superbe. Les poissons brillent partout dans les rochers du bord, saupes, petits sars, mulets ; on voit le fond à 3 ou 4 mètres, c’est magique !
Je prends quelques photos, une petite vidéo (privée, sorry, je garde le spot secret pour le moment…)
Aujourd’hui, j’ai prévu une petite épuisette pour monter les seiches avec moi. Je monte une turlutte claire, et rien. Quelques enfants d’une dizaine d’année viennent autour de moi, l’un d’eux nous a déjà vu hier avec Olivier. Ils jouent et me regardent, mais ils s’agitent beaucoup, et me rendent nerveux. Je ne touche rien jusqu’à 19 h 30.
Là, une première seiche m’attaque, et se décroche. Puis une deuxième se pique bien. Un des enfants veut l’épuiser. Je le laisse faire. Je lui dit de bien mettre l’épuisette dans l’eau, et de ne pas bouger. Mais bien sur, il ne m’écoute pas, et essaye de faire rentrer la seiche dans l’épuisette. Elle se décroche sur une tirée sèche. Flûte. Je ne suis pas content.
Mais une deuxième seiche m’attaque. Je veux l’épuiser mais le gosse reprends le gambero, et cette fois-ci, fait bien ce que je lui dit… jusqu’à ce que la seiche soit à moitié au dessus de l’épuisette, et là, il essaye de glisser l’épuisette en dessous de la seiche.
Une ruade, elle s’accroche à l’épuisette, tombe dans l’eau, et la turlutte reste piquée dans le filet. CARAMBA, ENCORE RATE !!! Là, je suis en rogne.
Entre temps, une toute petite seiche attaque violemment ma turlutte. Elle monte en tourbillonnant sur elle-même, et ses petits tentacules finissent par se déchirer. Enfin, une quatrième m’attaque et se pique bien.Je la mets moi-même à l’épuisette. Je tremble un peu qu’elle s’enfuie, et que les gosses se fichent de moi. Mais non, elle y va très bien. OUF, ENFIN UNE !
Olivier arrive peu après. Il rentre de Casa où il avait un RV. Il monte sa turlutte, et au deuxième lancer accroche une très belle seiche. Mais pas de bol, et mal concentré, sans doute, et aussi fatigué par le voyage, elle se décroche assez rapidement. Il en décrochera une autre, et puis, en mettra une troisième au sec.
Entre temps, j’ai laissé ma turlutte au fond. Je change, mais je suis rendu nerveux par les gosses, la grosse seiche qui vient de se sauver, je monte mal un nœud, je tire dessus pour le vérifier : CLAC, il me casse dans les mains. Bon, je me calme, et recommence à pêcher. Une petite seiche m’attaque encore. Elle se décroche instantanément, et suit ma turlutte jusqu’au bord sans la reprendre. Je lance plus loin, deux ou trois fois, sans parvenir à la décider à nouveau.
A ce moment là, l’appel à la prière retentit, et je regarde le ciel. Un coucher de soleil absolument majestueux, entre carmin limpide et vermillon ample, avec des nuages fins violines, lavandes, qui se découpent sur la jetée en ombre chinoises, c’est absolument somptueux…Olivier, lui, de son côté, rentre une première seiche moyenne. Mais je ne connais pas son quota de touches manquées : je me suis bien reconcentré sur ma pêche.
Je gratte le fond, et essaye de faire faire un petit WTD à ma turlutte.Soudain, alors que les derniers rayons du soleil s’enfuient, je vois une grosse ombre devenir rouge, blanche, marron, blanche encore, alors que je sens des tapes rageuses… C’est pas vrai, je n’y crois pas : je vois une grosse seiche en direct prendre ma turlutte, s’enrouler autour, et essayer de la « tuer » de toute ses forces. Je ferre doucement, mais amplement, pour que mon frein chante bien… Elle me met une belle cacahouète en démarrant en arrière, le frein chantonne un peu, je mouline, il chantonne encore, un « zzzz » assez continu, elle arrive… Un gosse veut encore me l’épuiser.
Comme je suis un peu haut, et loin du salabre, je le laisse faire, mais je donne sèchement mes directives : « l’gambero f’lma, ou ma t’bougèch, an’ jiblik l’sipia!!! » (L’épuisette dans l’eau, et ne bouge pas. Je t’amène la seiche !). J’approche la seiche, elle voit le filet, tire très fort, mais cette fois-ci ne se décroche pas. Je l’amène contre les rochers, le petit la ramasse par derrière, elle rentre dans la poche, elle est à moi… Le petit, à deux mètres en dessous de moi, me la tend. A ce moment là, elle choisit de se vider de son eau, dans ma direction. Deux grands geysers d’eau salée partent du filet, accompagnés du bruit de quelqu’un qui se mouche !
Ensuite, on ne fera plus rien pendant un bon moment. Soudain, une touche énorme, en pleine eau… J’annonce « grosse, très grosse seiche ». Je mouline, mais rien ne vient. Je serre le frein, mais rien ne vient. Un poulpe qui a touché le fond et s’accroche aux cailloux ? Je laisse du mou, le fil se retend aussitôt. Je laisse beaucoup de mou, et ça repart. Tiens, ça vient léger, maintenant ! Ah, me*de, un énorme sachet dégueulasse !
Le résultat du soir :
Les frontales désormais allumées, on se regarde, on se tâte mutuellement… (Au sens figuré, gros malins, au sens figuré…)On se décide pour essayer un autre coin, mais on se fait gentiment éconduire par les gardiens… Un autre endroit à explorer en mode Ninja- Gangsta eging, pour la prochaine fois ! Bon courage à tous, et carbone plié !
Une fois n 'est pas coutume, j'ai fait une infidélité (2, en fait!) à mon ami Ahmed, dont voici les reports :
Nous sommes sortis, un ami (Olivier) et moi sur un spot à seiche que nous avons validé. Je dis « validé », parce que je sentais qu’il y avait un vrai potentiel, mais je n’avais pas lors de ma sortie précédente, réussi à trouver les seiches tant convoitées.
Cette fois-ci, nous y sommes parvenus.
Le 07/05/2012 :
Arrivée sur les lieux vers 19 h 30, avec chacun trente minute de retard sur l’horaire prévu. L’eau est, comment dire… dégueu. Trouble, et des sachets plastiques tourbillonnent avec le courant de baissant. Et le vent souffle en rafales gênantes, même si elles ne sont pas trop fortes.
Olivier pêche sur la gauche, et moi la droite du spot. J’ai mis une turlutte Egy-o Q orange vif, et lui, une bleue foncée. Très vite, il décroche une première seiche, et en ramène une deuxième petite, qu’il remet à l’eau.
Moi, rien. Je change de couleur sur ses conseils, et mets une turlutte plus sombre. Ah, une touche. Décrochée… Je desserre le frein, pour pouvoir ferrer. Une autre touche, la rage, décrochée encore ! Je relance au même endroit où j’ai pris la touche, et cette fois ci, je la ramène au bord. Arrivée aux roches, je la lève, mais le tentacule se déchire RAHHHH !!!
Bon, elle est sortie de l’eau, Olivier la compte avec générosité. Pendant ce temps là, lui ne touche rien, ou ne le mentionne pas. Une seiche partout… Et hop, une belle petite touche pour moi ! Ferrage canne haute, le frein chante ! Super ! Mais en fait, elle est plutôt petite, mais très énervée ! Je la soulève, et la pose dans mon sac : deux seiches à une.
Olivier s’est entre temps décalé sur ma droite, et je le vois peu après aux prises avec un monstre (sa canne est plus puissante que la mienne, et plie vraiment ! Seulement, c’est un poulpe de belle taille qu’il amène au bord. Olivier me dira qu’il a essayé de le saisir à la main, mais que le poulpe, très énervé, l’a accroché ave ses tentacules, et l’a mordu de quatre vicieux coups de bec ! Deux jeunes qui passaient par là l’on sorti des rochers, et Olivier leur a généreusement offert son poulpe, en reconnaissant qu’il n’aurait jamais pu le récupérer tout seul.
On continue la soirée, l’eau a vraiment beaucoup baissé, et il fait maintenant nuit. On se décale encore à droite, pour profiter des endroits où il reste de l’eau. Olivier me laisse essayer sa canne, une vraie petite merveille de Zenaq. Je lance, relance, mais je n’y crois plus vraiment. Soudain, une nouvelle touche, mais lourde, un autre sac ? (Je vous ai passé le nettoyage de la mer qu’on a fait : la turlutte parfois accrochant un sac dès sa chute, et autre joyeusetés ramassées ainsi.) Mais non, je ramène moi aussi un poulpe de belle taille, même s’il est un peu plus petit que celui d’Olivier. Chat échaudé craint l’eau froide, Olivier se méfie. Je ne fais pas non plus le fier : s’il est bien piqué, je sais bien qu’il doit être mécontent. Je n’ai pas encore la technique des Ryass locaux pour le décalotter, alors quelques coups entre les deux yeux avec une grosse pierre, et hop, dans le sac.
On va continuer un peu pour la forme, mais le cœur n’y est plus, les sachets en plastique sont toujours là, et on est un peu fatigué.A la maison, la tête pleine de rêves de seiches et de turluttes tourbillonnantes. On s’est donné RV pour le lendemain même heure.
Le résultat du jour, pour moi :
Le 08/05/2012 : Motivé par la session squid de la veille, j’arrive juste après mon travail, vers 18 h 30 sur le spot. J’avais prévu d’arriver un peu plus tôt, mais pas possible. La mer est encore très haute, mais aujourd’hui, on va pêcher dans un aquarium : pas de vagues, pas de vent, et la mer est superbe. Les poissons brillent partout dans les rochers du bord, saupes, petits sars, mulets ; on voit le fond à 3 ou 4 mètres, c’est magique !
Je prends quelques photos, une petite vidéo (privée, sorry, je garde le spot secret pour le moment…)
Aujourd’hui, j’ai prévu une petite épuisette pour monter les seiches avec moi. Je monte une turlutte claire, et rien. Quelques enfants d’une dizaine d’année viennent autour de moi, l’un d’eux nous a déjà vu hier avec Olivier. Ils jouent et me regardent, mais ils s’agitent beaucoup, et me rendent nerveux. Je ne touche rien jusqu’à 19 h 30.
Là, une première seiche m’attaque, et se décroche. Puis une deuxième se pique bien. Un des enfants veut l’épuiser. Je le laisse faire. Je lui dit de bien mettre l’épuisette dans l’eau, et de ne pas bouger. Mais bien sur, il ne m’écoute pas, et essaye de faire rentrer la seiche dans l’épuisette. Elle se décroche sur une tirée sèche. Flûte. Je ne suis pas content.
Mais une deuxième seiche m’attaque. Je veux l’épuiser mais le gosse reprends le gambero, et cette fois-ci, fait bien ce que je lui dit… jusqu’à ce que la seiche soit à moitié au dessus de l’épuisette, et là, il essaye de glisser l’épuisette en dessous de la seiche.
Une ruade, elle s’accroche à l’épuisette, tombe dans l’eau, et la turlutte reste piquée dans le filet. CARAMBA, ENCORE RATE !!! Là, je suis en rogne.
Entre temps, une toute petite seiche attaque violemment ma turlutte. Elle monte en tourbillonnant sur elle-même, et ses petits tentacules finissent par se déchirer. Enfin, une quatrième m’attaque et se pique bien.Je la mets moi-même à l’épuisette. Je tremble un peu qu’elle s’enfuie, et que les gosses se fichent de moi. Mais non, elle y va très bien. OUF, ENFIN UNE !
Olivier arrive peu après. Il rentre de Casa où il avait un RV. Il monte sa turlutte, et au deuxième lancer accroche une très belle seiche. Mais pas de bol, et mal concentré, sans doute, et aussi fatigué par le voyage, elle se décroche assez rapidement. Il en décrochera une autre, et puis, en mettra une troisième au sec.
Entre temps, j’ai laissé ma turlutte au fond. Je change, mais je suis rendu nerveux par les gosses, la grosse seiche qui vient de se sauver, je monte mal un nœud, je tire dessus pour le vérifier : CLAC, il me casse dans les mains. Bon, je me calme, et recommence à pêcher. Une petite seiche m’attaque encore. Elle se décroche instantanément, et suit ma turlutte jusqu’au bord sans la reprendre. Je lance plus loin, deux ou trois fois, sans parvenir à la décider à nouveau.
A ce moment là, l’appel à la prière retentit, et je regarde le ciel. Un coucher de soleil absolument majestueux, entre carmin limpide et vermillon ample, avec des nuages fins violines, lavandes, qui se découpent sur la jetée en ombre chinoises, c’est absolument somptueux…Olivier, lui, de son côté, rentre une première seiche moyenne. Mais je ne connais pas son quota de touches manquées : je me suis bien reconcentré sur ma pêche.
Je gratte le fond, et essaye de faire faire un petit WTD à ma turlutte.Soudain, alors que les derniers rayons du soleil s’enfuient, je vois une grosse ombre devenir rouge, blanche, marron, blanche encore, alors que je sens des tapes rageuses… C’est pas vrai, je n’y crois pas : je vois une grosse seiche en direct prendre ma turlutte, s’enrouler autour, et essayer de la « tuer » de toute ses forces. Je ferre doucement, mais amplement, pour que mon frein chante bien… Elle me met une belle cacahouète en démarrant en arrière, le frein chantonne un peu, je mouline, il chantonne encore, un « zzzz » assez continu, elle arrive… Un gosse veut encore me l’épuiser.
Comme je suis un peu haut, et loin du salabre, je le laisse faire, mais je donne sèchement mes directives : « l’gambero f’lma, ou ma t’bougèch, an’ jiblik l’sipia!!! » (L’épuisette dans l’eau, et ne bouge pas. Je t’amène la seiche !). J’approche la seiche, elle voit le filet, tire très fort, mais cette fois-ci ne se décroche pas. Je l’amène contre les rochers, le petit la ramasse par derrière, elle rentre dans la poche, elle est à moi… Le petit, à deux mètres en dessous de moi, me la tend. A ce moment là, elle choisit de se vider de son eau, dans ma direction. Deux grands geysers d’eau salée partent du filet, accompagnés du bruit de quelqu’un qui se mouche !
Ensuite, on ne fera plus rien pendant un bon moment. Soudain, une touche énorme, en pleine eau… J’annonce « grosse, très grosse seiche ». Je mouline, mais rien ne vient. Je serre le frein, mais rien ne vient. Un poulpe qui a touché le fond et s’accroche aux cailloux ? Je laisse du mou, le fil se retend aussitôt. Je laisse beaucoup de mou, et ça repart. Tiens, ça vient léger, maintenant ! Ah, me*de, un énorme sachet dégueulasse !
Le résultat du soir :
Les frontales désormais allumées, on se regarde, on se tâte mutuellement… (Au sens figuré, gros malins, au sens figuré…)On se décide pour essayer un autre coin, mais on se fait gentiment éconduire par les gardiens… Un autre endroit à explorer en mode Ninja- Gangsta eging, pour la prochaine fois ! Bon courage à tous, et carbone plié !
